Intervention dans le cadre du Débat de zone “Fos Berre Provence” – avril/juillet 2025
Publiée le 25 avril, dernière mise à jour le 24 juin
le Le mercredi 02 avril 2025 s’est ouvert le Débat de zone “Fos Berre Provence”.
Jusqu’au 13 juillet 2025, la Commission Nationale du Débat Public (CNDP) organise un débat public sur des projets de réindustrialisation et de décarbonation du territoire de Fos-sur-Mer et de l’étang de Berre. Il porte aussi bien sur la vocation proposée par l’État pour ce territoire que sur des projets industriels mais aussi d’infrastructures, notamment électriques, dans les Alpes-de-Haute-Provence, le Gard et l’Ouest des Bouches-du-Rhône.
PIICTO, en qualité d’expert, intervient sur plusieurs dates, et plusieurs thématiques.
- Mercredi 23 avril à Martigues, Nicolas Mat, secrétaire Général de PIICTO, est intervenu dans une table ronde “Industrie verte : une révolution industrielle?”.
Cette intervention a permis de mettre en lumière les projets de transformations des sites industriels existants sur le territoire et la dynamique de nouveaux projets (exogènes) souhaitant s’implanter sur le territoire. - Jeudi 15 mai, à Istres, notre secrétaire général s’est à nouveau prêté à l’exercice, sur la table ronde « Fos-Berre : quelles synergies locales entre les filières portuaires, logistiques et maritimes ? » aux côtés de Rémi Costantino du Port de Marseille-Fos et Stéphan Guignard de l’Université Aix-Marseille.
- Lundi 16 juin, c’est lors du webinaire : « Eau, besoins, impacts et mesures de gestion » que PIICTO est intervenu
- Mardi 24 juin, à Vitrolles, nous sommes revenus, lors de la réunion publique sur la « Gouvernance », sur nos expériences de coordination dans le cadre de la démarche collective, d’Écologie Industrielle et Territoriale que pilote PIICTO, en reprenant les missions principales de l’association, ses ramifications sur le territoire et sa feuille de route sur les prochaines années.
Ce débat public global, est une occasion pour PIICTO de transmettre au grand public une approche simplifiée de ses travaux d’Ecologie Industrielle et Territoriale et de ceux du Programme SYRIUS, de revenir sur la vocation industrielle du territoire, sur les projets de transformation des sites industriels existants et sur la dynamique de nouveaux projets.
